• LE PSYCHO POIDSL'hygiène vitale

    Beaucoup ont essayé multiples méthodes pour perdre du poids sans grands succès, et ressentent ces échecs comme frustrants comme ont pu l’être certains régimes, et éprouvent différentes émotions négatives telles la colère traduisant son insatisfaction face aux difficultés de maigrir ou encore de la culpabilité contre soi.

    Si une ‘’rééducation alimentaire’’ ainsi qu’une activité physique régulière restent primordiales, bon nombre de personnes peinent à corriger leur hygiène de vie et surtout ont cette impression que leur volonté leur échappe totalement et se retrouvent prisonnières de leurs habitudes.

     Nous constatons ainsi une sorte de sabotage chez l’individu, guidé par ses  propres émotions, et qui se retrouve en ‘’pilotage automatique’’ en suivant ce que lui ‘’impose’’ son inconscient. Pour lui et son entourage ces échecs sont perçus comme un manque de volonté, une fatalité, ou encore un problème d’hérédité.

    Mais si cela n’avait rien à voir avec  la volonté?

    Et si effectivement  il existait un vrai ‘’auto sabotage’’ animé par un comportement construit au fil du temps avec toutes ses propres croyances?

    L’aliment reste un véritable antistress. Toutes ces personnes relatent une désorganisation alimentaire induite soit par le sucré, soit par des compulsions dans les  moments de stress, de solitude… traduisant des manques remontant de l’enfance, des réponses face à des désordres affectifs...

    L'hygiène mentale

    Nous pouvons donc ajouter un nouveau moyen indolore pour aider à vaincre ses mauvaises habitudes que l’on n’arrive pas à gérer par un accompagnement en  PSYCHO ENERGETIQUE.

    Tout en respectant une hygiène de vie équilibrée, la prise en charge par une Méthode comme l’EFT va permettre de changer ce comportement, et ainsi agir sur le ‘’PSYCHO POIDS’’.

    La Méthode E.F.T (Emotional Freedom Techniques) présente plusieurs intérêts dont celui d’éliminer la liaison négative d’une émotion permettant ainsi de ne plus subir contre sa volonté un souvenir enfoui dans nos mémoires. Un autre intérêt réside dans le fait qu’en se libérant de ces  émotions, nous améliorons notre qualité de vie dans tous les domaines, en  (re)devenant le maître de notre destinée.

    Je vous invite à réfléchir sur la citation de Mahatma Gandhi Vos croyances deviennent votre destinée.

    Vidéos EFT EquilibreSante®

    Découvrez cette étude : Résultats psychologiques secondaires dans un essai contrôlé des techniques de liberté émotionnelle et du comportement cognitif dans le traitement des fringales

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    LE PSYCHO POIDS

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  • « Le stress est probablement un moteur de l’évolution humaine »

    Article invité de la Nutrition.fr par Lucie Lecherbonnier Publié le 08/11/2019 Mis à jour le 11/11/2019
    POINT DE VUE

    Le Stress : Bon pour la Santé !

    Ennemi n°1 de nos sociétés modernes, le stress est rarement envisagé comme un allié de notre santé. Pourtant au niveau cellulaire, il joue un rôle indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Les explications de Laurent Chatre, chargé de recherche CNRS.

     

    LaNutrition.fr : Vous êtes un spécialiste du stress oxydatif, qu'est-ce que c'est exactement ?

    Laurent Chatre : Au niveau cellulaire, quand nous stressons, nous produisons ce qu'on appelle des espèces réactives du stress. Ce sont des molécules chimiques qui provoquent de l’oxydation, d'où le terme « stress oxydatif ». On retrouve ces molécules dans tous les organismes vivants. Les bactéries stressent, les plantes, les champignons, les animaux, les poissons… tout le monde stresse.

    On parle du stress comme un mal moderne, mais quand cette notion est-elle apparue?

    Le mot a été créé en 1925 par Hans Selye, un médecin endocrinologue. Il l’a décrit comme un syndrome général d’adaptation de notre corps à une nouvelle situation. Cette définition a été largement démocratisée mais plutôt comme quelque chose de néfaste, et l’idée est restée que le stress est dangereux, qu'il faut l’anéantir, le bloquer. On dit souvent que si on stresse, cela va endommager nos cellules, ralentir notre fonctionnement voire, provoquer des cancers. On est en train de revenir dessus.

    Vous parlez des « pouvoirs extraordinaires » du stress. De quoi s'agit-il ?

    À faibles doses, ces molécules ont toutes des propriétés intéressantes : antivieillissement, anticancer, anti-maladie neurodégénérative et anti-AVC. Nos cellules ont une durée de vie limitée, l'oxydation provoquée par les espèces réactives est un marqueur de leur état d'endommagement qui va indiquer à notre corps qu'il est temps de les éliminer pour éviter des mutations dangereuses comme les cancers. À faibles doses, le stress oxydatif maintient le renouvellement constant de nos protéines, de nos lipides, de notre ADN, et donc c’est bénéfique. À fortes doses, cela va tuer directement les cellules au lieu de les renouveler et là, c’est beaucoup plus dommageable.

    Vous dites que le stress a des propriétés antivieillissement ?

    C'est une théorie scientifique actuellement débattue dans les congrès, qui postule que pour vivre plus longtemps, il vaut mieux stresser un petit peu que pas du tout. Les gens qui suivent un régime méditerranéen par exemple, consomment beaucoup de plantes aromatiques et d'épices. Ces aliments provoquent toujours un peu de stress au niveau de l'estomac, ce qui fait répondre les bactéries et donc le cerveau et tous les organes à travers le sang et favorise là aussi le renouvellement cellulaire. Tout comme le sport.

    Le sport génère-t-il du stress ?

    Oui quand nous faisons de l'activité physique nous fabriquons un peu de ces espèces réactives au stress, et cela stimule le renouvellement cellulaire et tissulaire. 

    Au final, n'être jamais stressé n'est donc pas un indice de bonne santé ?

    N'être jamais stressé, au niveau chimique ça n'existe pas. Pendant la digestion le stress est utile pour digérer les aliments, quand nous faisons une infection, le stress est utile au système immunitaire pour tuer les mauvaises bactéries ou les mauvais virus. Il ne faut pas chercher le stade zéro stress parce que ne plus avoir de stress semblerait aussi dangereux pour la santé que d'en avoir trop. C'est difficile d'expliquer que le stress peut être bénéfique, on nous demande toujours quelle est la bonne dose.

    Contre le stress oxydatif, on a longtemps vanté les mérites des antioxydants…

    …Jusqu'à ce que des études démontrent que certains antioxydants pouvaient provoquer le cancer. Les cellules cancéreuses contiennent beaucoup de molécules chimiques du stress et donc naturellement, on a pensé qu'en leur donnant des antioxydants on allait les détruire, mais c’est l’effet inverse qui s'est produit. En fait, on a mal compris le rôle du stress, on l'a vu comme une sorte d’arme utilisée par les cellules cancéreuses pour nous rendre malade alors qu'il s'agit probablement d'une réaction de notre corps pour tenter d'éliminer ces cellules qui, pour se défendre vont elles-mêmes produire des antioxydants. Donc si vous en rajoutez avec des compléments, c’est la fête pour les cellules cancéreuses et vous favorisez leur développement ou leur récidive.

    Alors il faut proscrire les antioxydants ?

    Quand on est en bonne santé, notre alimentation quotidienne suffit si on consomme des aliments dits « riches en antioxydants » mais qui sont en fait à la dose parfaite pour le corps. Vous avez le brocoli, le pruneau, les fruits rouges, la pomme, les fruits secs, les lentilles, les oranges dont la vitamine C est au bon dosage à propriété antioxydante. Si vous abusez de la vitamine C là encore, vous allez créer un déséquilibre entre les oxydants et les antioxydants et c'est mauvais. Il faut comprendre que les antioxydants répondent toujours aux oxydants et vice-versa.

    On comprend que tout est question de dosage mais quelle est l'origine de ces déséquilibres ?

    Ces molécules oxydantes existent tout autour de nous et nous impactent. Il y a quatre grandes familles d'espèces réactives au stress parmi lesquelles on retrouve l'oxygène actif contenu dans la lessive, les piscines, les conservateurs. Avec la pollution chimique on a découvert les espèces réactives de l'azote, comme les nitrates qui sont des engrais ou les sels de nitrite dans la charcuterie ou les bouteilles d’eau, les espèces réactives du souffre présentes dans les gaz d'hydrocarbures, les sulfates utilisés en agriculture ou les sulfites du vin. Il y a enfin les espèces carbonyles, c’est ce qu'on trouve dans le grillé de la viande sur le barbecue, les huiles de friture trop grillées ou dans les huiles essentielles. Encore une fois, à faibles doses ce n'est pas un problème mais quand nous y sommes trop exposés….

    Ce stress oxydatif peut donc venir des pollutions environnementales ?

    Exactement, et de notre alimentation aussi. Nos cellules produisent de l’énergie à partir du sucre qu'on consomme et de l'oxygène qu'on respire, grâce à de petites centrales énergétiques qu’on appelle des mitochondries. En produisant de l’énergie elles génèrent également des dérivés parmi lesquels on trouve les espèces réactives du stress. Si on consomme trop de sucre ou trop de gras, on va pousser notre corps à faire trop d’énergie et donc à générer trop d’espèce réactives du stress qui vont oxyder, endommager notre propre ADN, faire des mutations, etc. C’est la porte ouverte au stress chronique et donc aux inflammations mais aussi aux cancers, aux maladies neurodégénératives, etc.

    Le stress finalement, c'est un très bon signal d'alarme ?

    Le stress au départ indique que quelque chose dans votre corps ou vos organes est en train de changer. C'est même probablement aussi un moteur de l'évolution. Face à des nouvelles problématiques environnementales – le climat change, les températures changent – nous allons manger différemment et donc nos corps vont évoluer. Cela va créer un peu de stress et va faire évoluer nos cellules et nos organes un peu plus. C'est un concept, certains n'y adhèrent pas mais c'est un concept.

    Laurent Chatre est chargé de recherche CNRS au laboratoire imagerie et stratégies thérapeutiques des pathologies cérébrales et tumorales, au centre d'imagerie médical Cyceron à Caen.

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  • Le système immunitaire en brefLe système immunitaire en bref

    Le système immunitaire fonctionne grâce à différents organes, cellules et substances spécifiques.

    Ces cellules circulent à travers les organes lymphoïdes :

    • La moelle osseuse et le thymus dans lesquels sont produites et se développent les cellules immunitaires
    • La rate, les ganglions lymphatiques, les amygdales et les amas de cellules lymphoïdes situés sur les muqueuses des voies digestives, respiratoires, génitales et  et urinaires

    Les cellules immunitaires sont notamment actives dans ces différents organes

    La défense immunitaire intervient en 2 phases :

    • La défense, innée, non spécifique, présente dès la naissance, agit immédiatement sans distinction des agents pathogènes à détruire
    • La défense adaptative, spécifique, qui intervient après reconnaissance et mémorisation de l'agent pathogène à détruire

    Voir le masque de protection yeux, narines, bouche

     

    La défense immunitaire innée, non spécifique

    1 Première ligne de défense

    Cette défense concerne la peau et les muqueuses, elle représente la première ligne. Dès qu’un agent infectieux pénètre la peau, l’épiderme, sécrète des substances antimicrobiennes qui favorisent l'arrivée de cellules immunitaires au niveau de l’infection.

    Les orifices, la bouche, le nez, les yeux, les oreilles, les voies urinaires et génitales constituant des portes d’entrées aux agents pathogènes possèdent également leurs propres  systèmes de défense.

    2 L'inflammation

    L'inflammation est la première réaction immunitaire dès qu’un agent pathogène réussi à passer la première ligne. Un afflux sanguin facilite l'arrivée des défenseurs, les cytokines.

    L’inflammation induit une rougeur, de la chaleur et un gonflement. Elle permet de contenir l’infection pour qu’elle ne s’étende pas.

    Les les phagocytes détruisent l’agent infectieux. Il en existe plusieurs types : les monocytes, les neutrophiles, les macrophages et les cellules tueuses naturelles Lymphocytes NK.

    Le système du complément, qui comprend une cinquantaine de protéines qui agissent en cascade pour détruire directement les microbes.

    3 Les interférons

    En cas d'infection virale, les interférons sont des glycoprotéines qui inhibent la multiplication des virus à l'intérieur des cellules.

    La défense immunitaire adaptative, spécifique

    La défense immunitaire spécifique se développe au fil du temps selon les  rencontres que notre organisme fait avec des cellules étrangères spécifiques. Le système immunitaire mémorise les agents pathogènes, virus, bactéries qu'il a déjà rencontrés pour agir plus efficacement et plus rapidement lors d’une prochaine rencontre. Cela explique que l'on n'attrape pas certaines infections deux fois, grâce à cette immunisation. La vaccination rejoint ce principe, en présentant au système immunitaire un agent pathogène pour qu’il le reconnaisse dès que celui-ci essaie de s’introduire par effraction dans l’organisme.

    Les lymphocytes actifs dans cette phase :

    • Les lymphocytes T, représentent plus de 80 % des lymphocytes en circulation. Différents types de lymphocytes T sont sécrétés selon les besoins :
      • Les lympocytes T cytotoxiques, détruisent directement les cellules infectées par des virus et les cellules tumorales. Pour reconnaître les agents pathogènes, les lymphocytes T ont besoin de l’assistante de cellules appelées cellules présentatrices d’antigènes
      • Lymphocytes NKT,  présentent des marqueurs de cellule T et des marqueurs de cellules NK. Ils sont donc liés aux 2 systèmes immunitaires, inné et adaptatif
      • Lymphocytes T auxiliaires,  sont des intermédiaires de la réponse immunitaire et prolifèrent pour activer en quantité d'autres types de cellules qui agiront de manière plus directe sur la réponse
      • Lymphocytes T régulateurs, ou T suppresseurs, activent les lymphocytes auto-immuns qui détruisent les cellules de leur propre organisme. Ils maintiennent l'homéostasie
      • Lymphocytes T mémoires, mémorisent les antigènes pour une réponse immunitaire plus rapide en cas de nouvelle intrusion de ce même antigène.
    •  Les lymphocytes B, représentent environ 10 % des lymphocytes. Les lymphocytes B produisent les anticorps, appelés également immunoglobulines. A la reconnaissance de l'antigène suit une sélection clonale, puis une prolifération clonale, la différenciation des lymphocytes B en plasmocytes ou en lymphocytes B mémoires. Leurs anticorps de membrane se lient directement à un antigène importé par une cellule présentatrice d'antigène pour la destruction de l’agent pathogène.

     

    Le système immunitaire en bref

     

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  •  LE THE 

    Le thé   possède un rang très particulier parmi tous les végétaux que nous recevons des autres parties du monde. Cette plante  conviviale et d’utilisation économique possède à la fois des propriétés alimentaires, hygiéniques et médicales.

    Les différents thés  

    Thé noir, thé vert, thé blanc, thé Oolong font partie de la  même famille, Camellia sinensis, leurs couleurs sont uniquement liées aux différents procédés de traitement des feuilles.

    Le thé noir, (nommé rouge en chine) est fermenté et flétri.

    Le thé vert, non fermenté et flétri peut avoir une liqueur verte ou noire.

    Le thé blanc ne subit pas de flétrissage.

    Le thé  Oolong, (ou semi fermenté),  signifie ‘’Dragon noir’’ subit une légère fermentation. Les feuilles son entières et faibles en théine.                       

     Thé-Rapeuthique

    L’ intérêt thérapeutique que procure sa prise dans différentes affections plus ou moins légères auxquelles   l’homme est si souvent confronté est de plus en plus démontré par de nombreuses recherches sur cette plante.   

    Le thé renferme de nombreux  composés chimiques, ce qui explique ses nombreuses propriétés. Il fut d’ailleurs, en orient, une plante médicinale avant d’être une boisson.

    Sa richesse en théine lui confère ses effets stimulants et diurétiques; cette dernière action étant renforcée par la présence de théobromine et d’acides phénols.

    La théine renforce la concentration, aide au soutien d’un effort intellectuel.

    La théine à aussi des effets sur le système cardiovasculaire.

    La théophylline contenue dans le thé agit sur le système broncho-pulmonaire et respiratoire.

    La théophylline est aussi psychostimulante et diurétique.

    Les flavanols du thé ont de puissantes activités protectrices cellulaires.

    Des études permettent de penser que la consommation régulière de thé vert, (4 tasses et plus par jour), en infusion   diminuerait significativement la cholestérolémie et la triglycérémie.

    D’autres études suggèrent que la consommation régulière de thé noir, (5 tasses par jour), diminuerait fortement le risque d’AVC.

    Les tanins contenus dans le thé exercent un effet anti diarrhéique par voie interne. Par voie externe, ils imperméabilisent les couches les plus externes de la peau et des muqueuses.

    Les tanins  ont un effet vasoconstricteur des petits vaisseaux superficiels. Ils régénèrent également les    tissus en cas de blessure superficielle ou de brûlure.

    Les tanins  sont de réels piégeurs de radicaux libres, inhibiteurs enzymatiques, luttant contre les agressions cellulaires.

    Les indications du thé sont depuis le 17è siècle fort nombreuses.

    En 1641, Nicolas Direcks, médecin hollandais remarquait dans son ouvrage ‘’Observations Midicae’’ qu’aucune plante ne possédait d’aussi remarquables vertus que le thé et que  « l’habitude de boire du thé préserve les gens de toutes sortes de maladies et assure la longévité ».

    En 1678, un autre médecin hollandais, Cornelis Bontekoe publia un traité sur « l’excellente boisson du thé » dans lequel on retrouve traduite du chinois la liste de ses propriétés bénéfiques :

     « 26 forces du thé »

     1. Purifie le sang

    2. Expulse les rêves lourds 

    3. Soulage le cerveau des pensées sombres 

    4. Soulage et guérit vertiges et maux de têtes 

    5. Soigne l’hydropisie 

    6. Excellent remède contre la catarrhe 

    7. Sèche toutes les humidités 

    8. Guérit la constipation 

    9. Rend la vue limpide 

    10. Protège des mauvaises humeurs et des affections du foie 

    11. Est un bon remède contre toutes les maladies de la vessie 

    12. Lénifie le mal de la rate 

    13. Chasse le sommeil trop lourd et superflu 

    14. Chasse la stupidité 

    15. Rend actif et énergique 

    16. Rend courageux 

    17. Écarte le crainte 

    18. Dissipe la douleur causée par la colique 

    19. Bon remède contre la douleur des menstrues 

    20. Renforce toutes les parties internes 

    21. Aiguise l’esprit 

    22. Renforce la mémoire 

    23. Renforce l’intelligence 

    24. Purge la bile 

    25. Renforce l’énergie sexuelle 

    26. Étanche la soif 

     

     

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    LE THE

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    LE THYM : NOTRE AMI POUR L'HIVER!

    LE THYM : NOTRE AMI POUR L'HIVER!Le thym, Thymus vulgaris est une plante médicinale très importante de la pharmacopée.

    Si cette plante est très utilisée comme  aromate, surtout dans le sud de la France, elle est d’une remarquable efficacité dans le soulagement de divers maux et notamment ceux générés en hiver.

    En effet les propriétés du thym dans les affections respiratoires et intestinales sont  remarquables.

    Le thym est un puissant anti infectieux, bactéricide et anti fongique.

     

     

     

    Outre son utilisation en cuisine, le thym peut être utilisé en tisane, en inhalation, en gargarisme, par voie cutanée.

    Le thym détient grande une richesse d’actifs selon qu’il soit frais ou séché, qu’il soit utilisé en tisane ou en aromathérapie.

    La composition phytochimique du thym

    Cette plante rampante pousse sur les sols arides dans les régions chaudes. On la retrouve sur  tout le bassin méditerranéen. 

    Le thym fait partie des plantes aromatiques. Elle contient des huiles essentielles conférant au thym de puissantes et   diverses  propriétés.

    Il existe plusieurs variétés de Thymus vulgaris regroupées en  7 chémotypes  (types chimiques).

    •  Linalol : fonction alcool, respecte la flore intestinale et s’utilise facilement chez l’enfant, anti infectieux, anti  mycosique.
    • Thymol : fonction phénol, plus agressif que le linalol, puissant anti infectieux, troubles de la sphère broncho pulmonaire., tonique physique et psychologique.
    • Thujanol : fonction alcool, anti viral, anti fongique,  antibactérien, hépato stimulant,  immunostimulant.
    • Carvacrol : fonction phénol, puissant bactéricide. Ayant une activité sur 92% des bactéries.
    • Géraniol : fonction alcool, anti bactérien, problèmes cutanés, immunostimulant, tonique général.
    • α-terpinéol : fonction alcool, immunostimulant, bactéricide, tonique général et nerveux.
    • Cinéole : fonction oxyde, expectorant, tonique général.

     

    Nous retrouvons d’autres espèces  du genre thymus :

    • Le thym saturéoïde ou thym à bornéol, un anti bactérien à large spectre et tonifiant de l’organisme.
    • Le serpolet, Thymus serpillum, neurotonique, efficace contre les maux de gorge.
    • Le Thymus citriodorus, thym à géraniol.
    • Le Thymus zigis, ou thym d’Espagne, renfermant thymol et carvacrol.
    • Le Thymus mastichina, autre thym d’Espagne riche en eucalyptol et limonène.

     

    La plante sèche renferme essentiellement de  la vitamine K, du fer, calcium, zinc, manganèse et en moindre quantité des vitamines B, C, et autres minéraux.

    On retrouve également des flavonoïdes et acides phénols, de bons anti oxydants et anti inflammatoires. Chaque type de thym contient des huiles essentielles dont sa représentante chémotypée.

    Le thym est utilisé depuis plusieurs milliers d’années. Les Egyptiens se servaient de cette plante pour embaumer leurs morts.

    Au Moyen Age le thym  a été l’un des remèdes pour soigner les grandes épidémies comme la peste et la lèpre.

    Dès le XVIe siècle  le thym apparaît dans les traités de médecine pour soulager différentes affections.

    De nos jours, les naturopathes et les médecins phytothérapeutes  conseillent le thym dans les domaines respiratoire et intestinaux, et en tant que puissant antiviral et anti bactérien.

    Les propriétés thérapeutiques

    Le thym possède des propriétés broncho spasmolytiques;  il a  des effets fluidifiant, expectorant et calmant sur la toux. C’est un allié de poids pour soulager les affections bronchiques et tout désordre respiratoire.

    En cas d’inflammations buccales, le thym peut être utilisé  en bains de bouche et gargarismes.

    Anti bactérien, le thym  aide à lutter contre H. pylori responsable des ulcères de l’estomac.

    Pendant les périodes de gastro entérites le thym reste une   arme efficace.

    Le thym est un puissant vermifuge chez les enfants.

    Il peut également être appliqué dans la lutte contre les poux. Dans ce cas l’alliance de l’huile essentielle de thym et du Tea tree sera un bon secours.

    Anti fongique, le thym s’utilise contre les mycoses diverses.

    Les effets anti oxydants du thym ne sont plus à démontrer et le constituant paracymène permet de soulager les douleurs rhumatismales et arthrosiques ainsi que les névralgies dentaires.

    Usages domestiques

    L’utilisation de quelques gouttes de thym sur un chiffon ou dans un seau d’eau pour les nettoyages ménagers est une bonne alternative aux produits désinfectants chimiques

    Le thym à géraniol chasse les moustiques.

    Les différentes formes galéniques

    Les propriétés d’une plante sont différentes, voir complémentaire, qu’il s’agisse de la plante fraîche, sèche ou sous   forme d’huile essentielle.

    Comme nous l’avons vu le thym possède plusieurs chémotypes. Une synergie de ces principaux chémotypes est un atout pour une action à très large spectre.

    C’est ainsi que le Laboratoire ETNAS à Montélimar a conçu un concept unique avec Arofitom®.

    Dans cette galénique innovante, le thym tient une place  particulière, avec l’association de la poudre de la plante associée à ses extraits et à différents thyms chémotypés.

    La forme tisane, en infusion, apportera du réconfort dès les premiers signes de refroidissements et pour aider à digérer.

    Les compresses d’infusion aideront à soulager les problèmes cutanés.

    Des bains de bouches et gargarismes d’infusion seront indiqués  en cas de maux de dents, laryngite,  amygdalite, halitose.

    Des teintures et extraits fluides peuvent également être proposés.

    N’oublions pas les inhalations très efficaces  pour déboucher les voies respiratoires.

    Tisane anti infectieuse

    2 clous de girofle

    1 branche de thym

    1 /2 bâton de cannelle

    1 rondelle de citron

    1/2 cuillère à café de miel

    Faire une infusion* de thym et une décoction** de cannelle et clou de girofle. Mélanger et  verser dans une tasse contenant le miel et le citron.

    *Verser la branche de thym dans l’eau bouillante et laisser  infuser 3 minutes environ

    *Mettre le clou de girofle et la cannelle dans l’eau froide et  faire bouillir le mélange  3 minutes environ.

    LE THYM : NOTRE AMI POUR L'HIVER!

    LE THYM : NOTRE AMI POUR L'HIVER!

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