Hypothyroïdie : Avez-vous pensé à la phytothérapie ?

L'hypothyroïdie résulte de l'incapacité de la glande thyroïde à produire suffisamment d'hormones thyroïdiennes. Son dysfonctionnement affaiblit les grandes fonctions de l'organisme.

La thyroïde est constituée de deux lobes à la base du cou. Cette glande endocrine sécrète des hormone, tri-iodothyronine, (T3) et  thyroxine, (T4). Cette production hormonale est stimulée par la TSH, (thyréostimuline)  sécrétée par l’hypophyse.

Si la l'iode est un élément important pour un bon fonctionnement de la thyroïde, des plantes médicinales utilisées en médecine ayurvédique sont efficaces en cas de légère hypothyroïdie.

Withania somnifera

Cette plante est également appelée ashwagandha, nom venant du sanskrit ashva, cheval, et gandha, odeur, Elle est aussi connue  sous le nom de ginseng indien.

En cas d' hypothyroïdie  des études scientifiques attestent que Withania somnifera stimulerait la thyroïde en augmentant la production d’hormone T4.

Le conseil d'utilisation, 450 mg d'extrait le matin et le soir. Ne pas utiliser chez la femme enceinte ou allaitante et les enfants. Respecter le dosage recommandé. Ne pas utiliser en même temps que des médicaments anxiolytiques.

Commiphora muku​

Le guggul est utilisé depuis plus de 3000 ans, notamment dans les traitements d'arthrite, de maladies cutanées, de troubles digestifs, d'infections buccales, de contrôle du poids et pour la stimulation d'hormones thyroïdiennes.

Cette plante permet  la synthèse de T3 et en augmentant la conversion de l’hormone T4 en T3 en plus d'une meilleure assimilation de l’iode.

Le conseil d'utilisation, 1 à 2 g par jour d’extrait de plante standardisé à 2,5% de guggulstérones.

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Afin de préserver ou recouvrer sa santé, il est primordial de préserver ou corriger 5 points essentiels 

Alimentation

Nutrition

Condition physique

Respiration

Emotions

La santé dépend de l'équilibre de ces 5 piliers qui représentent l'hygiène de vie en considérant l'homme dans sa globalité : hygiène physique, hygiène de l'esprit.

Le corps, (matière), est uni à l'esprit, (lumière), avec le système énergétique, (âme).

L'alimentation doit tenir compte de l'élimination, de la digestion, des équilibres acido basique et oxydatif.

Le choix de l'aliment, sa variété, ses qualités nutritionnelles sont primordiaux.

Les nutriments permettent un bon fonctionnement de l'organisme. Ils participent aux fonctions vitales, ils aident à la réparation des tissus et des dégâts causés par le stress en excès...

L'activité physique est indispensable pour éliminer, oxygéner, pour un bon équilibre physique et psychologique..

La respiration est un facteur important pour oxygéner, détoxiner l'organisme, et aide à gérer ses émotions. Respirer en conscience  favorise l’équilibre immunitaire.

 La gestion des émotions permet de limiter la monopolisation des nutriments, de mieux respirer, donc de mieux oxygéner et détoxiner l'organisme.

 Une émotion négative est  en liaison directe avec une perturbation énergétique corporelle.

La floraison de l'ambroisie fait craindre nombreuses personnes, qui chaque année présentent une allergie à cette plante.

Cette année comme beaucoup d'espèces végétales cette floraison est en avance par rapport aux années précédentes et laisse penser que les réactions allergiques seront par conséquent plus précoces !

L'ambroisie (Ambrosia artemisiifolia L.) est une plante invasive annuelle dont le pollen émis en fin d’été est particulièrement allergisant.

La région Rhône-Alpes est la région française la plus affectée par la diffusion de pollens d’ambroisie.

Les réactions allergiques se caractérisent par des rhinites, conjonctives et des trachéites. Parfois ces réactions se transforment en asthme très virulent et invalidant.

Voici le site RNSA qui transmet les pollinisations et les allergies encourues 

http://www.pollens.fr/docs/vigilance.html 

La Technique Ostéo Bowen est particulièrement indiquée en cas d'allergie :

contact Patrick LELU au 06 14 53 08 28.

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Alimentation

Nutrition

Condition physique

Respiration

Emotions 

Les piliers de la santé

 Les 5 piliers de la santé qui garantissent un bon fonctionnement de l’organisme.

 Si un et surtout plusieurs de ces éléments sont déséquilibrés, alors les risques de fatigues et de maladies sont accrus. 

 La santé dépend de l'équilibre de ces 5 piliers qui représentent l'hygiène de vie en considérant l'homme dans sa globalité : hygiène physique, hygiène de l'esprit.

" Corps et esprit sont unis !"

 Alimentation

 L'alimentation doit tenir compte de l'élimination, de la digestion, des équilibres acido basique et oxydatif. Le choix de l'aliment, sa variété, ses qualités nutritionnelles sont primordiaux.

 Nutrition

 Les nutriments permettent un bon fonctionnement de l'organisme. Ils participent aux fonctions vitales, ils aident à la réparation des tissus et des dégâts causés par le stress en excès…

 Condition physique

 L'activité physique est indispensable pour éliminer, oxygéner, pour un bon équilibre physique et psychologique. Marcher permet l’activation du système lymphatique, nettoyeur des déchets circulants.

 Respiration

La respiration est un facteur important pour oxygéner, ''détoxiner'' l'organisme, et aide à gérer ses émotions. Respirer en conscience favorise l’équilibre immunitaire.

 Emotions

 La gestion des émotions permet de limiter la monopolisation des nutriments, de mieux respirer, donc de mieux oxygéner et ''détoxiner'' l'organisme.

Une émotion perturbante, (négative), est en liaison directe avec une perturbation énergétique corporelle. Aujourd'hui nous avons des réponses pour aller au delà de la simple gestion du stress en éliminant les causes !

Éliminer les causes des stress perturbants revient à s'attacher aux ''dysfonctionnements'' comportemental de l'individu. La personnalité de chacun influe sur l'équilibre psychocorporel !

 Conclusion

C'est pourquoi il est souvent opportun de s'intéresser en premier lieu au statut émotionnel chez toute personne en souffrance psychologique, bien-sûr, mais aussi physiologique...

 La prise en charge de ces 5 piliers demande une pratique élargie de tout Praticien de Santé, surtout lorsque l'on sait que les problématiques de santé de nos contemporains sont de plus en plus multifactoriels.

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L’astaxanthine  est à la base de la chaîne alimentaire, fabriquée par les algues et plancton. C’est la principale   nourriture des petits crustacés, (crevettes...), eux-mêmes alimentant  les poissons, (saumons, truites...), qui à leur tout peuvent finir dans notre assiette pour notre plus grand bien. 

L’ astaxanthine est un pigment appartenant à la famille des caroténoïdes présent dans les produits marins tels que saumon, cabillaud, maquereau, crabes, crevettes, homard, krill…leur donnant la couleur rose. Les flamants, et ibis rouges doivent leurs couleurs à leur nourriture constituée de petites crevettes.

Comme les autres caroténoïdes, l’astaxanthine possède des propriétés antioxydantes  puissantes, piégeant les radicaux libres.

L’action protectrice de l’astaxanthine contre la  péroxydation des acides gras est cependant 50 fois plus importante que les autres caroténoïdes, béta-carotène, zéaxanthine.

Il est donc important de veiller à apporter régulièrement   cette molécule à travers son alimentation, en quantité suffisante selon son statut et son âge, comme nous le verrons par la suite.

Bénéfices de l’astaxanthine sur la santé

L’astaxanthine traverse la barrière hémato-rétinienne, protégeant la rétine des  attaques radicalaires induites par les radiations du soleil qui occasionnent des lésions, et protège les photorécepteurs de la dégénérescence.

Cette protection face aux agressions des UVB du soleil se matérialise aussi au niveau de la peau, l’astaxanthine jouant ainsi un rôle important face au vieillissement cutané.

L’astaxanthine est un atout précieux pour combattre l’inflammation chronique  et  ses dommages comme les maladies d’Alzheimer, Parkinson, les diabètes, AVC… Dans les problèmes de surpoids, l’effet de l’astaxanthine  sur l’inflammation généralisée paraît  être un atout à prendre en compte.

L’astaxanthine est un allié de poids pour les sportifs, favorisant la protection face aux radicaux libres produits pendant l’effort, permettant ainsi une meilleure endurance ainsi qu’une meilleure récupération, et diminuant de surcroît les risques de blessures.

Des études sur le rat ont démontré l’activité de l’astaxanthine sur l’ulcère de l’estomac. D’autres études  montrent que l’astaxanthine  stimule la production d’anticorps, favorisant ainsi la réponse immunitaire.

L’astaxanthine  aurait également  des bénéfices sur la santé du cœur, en protégeant le cholestérol- LDL de l’oxydation induite,  tout en augmentant le cholestérol HDL, (dit bon    cholestérol).  De plus l’inflammation supposée être responsable des maladies cardio-coronariennes  étant également réduite.

Astaxanthine et alimentation

Nous constatons une fois de plus que la nature est très bien faite en nous offrant les réponses à nos besoins et à nos maux divers.

Face à la surmédicamentation en réponse des phénomènes inflammatoires et dégénératifs de plus en plus nombreux, nous pouvons réfléchir sur la qualité de nos assiettes et compter sur la complémentation alimentaire si nécessaire!

L’astaxanthine est naturellement apportée par l’alimentation à partir des  crustacés, (crevettes, crabes…) et poissons, (saumon,  maquereau,  cabillaud...). La concentration en astaxanthine est cependant plus importante chez les poissons sauvages. Par comparaison, un apport journalier de 4 mg    d’astaxanthine, représente 100 G de saumon sauvage et 400 G de saumon d’élevage.

Dans certains cas une complémentation en astaxanthine pourra se faire avec la prise de capsules d’huile de krill, ces fabuleuses petites crevettes des eaux froides, qui de plus renferment des oméga 3, (EPA DHA), protégés eux-mêmes de l’oxydation lipidique par l’astaxanthine. Les phospholipides que possède l’huile de krill favorisent le transport de ces acides gras et leur intégration au niveau cellulaire, ils nourrissent également la sphère cérébrale.

 Références :

Tso M.O. et al., Method of retarding and ameliorating central nervous system and eye damage, US patent #5527533, Board of trustees of the University of Illinois, United States of America, 1996.

Jyonouchi H. et al., Studies of immunomodulating actions of carotenoids. II. Astaxanthin enhances in vitro antibodies production to T-dependent antigens without facilitating polyclonal B-cell activation, Nutr. Cancer, 1993, 19(3): 269-280.

Jyonuchi H. et al., Immunomodulating actions of carotenoids: enhancement of in vivo and in vitro antibody production to T-dependent antigens, Nutr. Cancer, 1994, 21 (1) : 47-58.

Jyonuchi H. et al., Studies of immunomodulating actions of carotenoids. I. Effects of beta-carotene and astaxanthine on murine lymphocyte functions and cell surface marker expression in in vitro culture system, Nutr. Cancer, 1991, 16 (2): 93-105.

Bennedsen M. et al., Treatment of H. pylori infected mice with antioxidant astaxanthin reduces gastric inflammation, bacterial load and modulates cytokine release by splenocytes, Immunol. Lett., 1999, 70, 185-189.

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