• STRESS ET MALADIESSi le stress n’est pas une maladie mais qu’au contraire il est vital, il peut tout à fait conduire à diverses maladies en cas de chronicité.

    Le stress permet à l’organisme à s’adapter continuellement aux stimulis environnementaux et assure notre survie face à un danger imminent.

    Le stress  passe d’un niveau d’équilibre appelé homéostasie, à un stade de résistance.

    Dans le cas où les différentes stimulations perdurent il passe à la phase d’épuisement et peut entraîner les pathologies.

    Lorsque le stress atteint la phase d’épuisement, cela signifie que le système sympathique s’épuise à cause d’un fonctionnement continu, et le système parasympathique devient hyperactif, ne pouvant plus assurer son fonctionnement de base dont la restauration d’énergie. Il n’y a plus d’homéostasie.

    La réaction pathologique est différente d’une personne à une autre, selon la carte génétique de chacun :

    Eczéma, psoriasis, cancer, dépression, douleurs…

    Le stress pathologique

    - Il est répétitif

    - Il est inévitable

    - Il est indésirable

    Le stress déclenche des stimulations d’hormones, (adrénaline), et de neurotransmetteurs, (noradrénaline), inhibant les fonctions de lymphocytes et des monocytes, d’où déficience immunitaire.

    Ces stimulations sont énergétivores et sont destructrices de nutriments, (Vitamine C).

    Le stress est toujours inflammatoire, provoquant la prolifération des radicaux libres, c’est pourquoi les surrénales libèrent toujours du cortisol.

    Il provoque la destruction du cuivre (anti – inflammatoire).

    La baisse du cortisol, en cas de trop grande sécrétion, favorise les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète…

    En cas de stress prolongé, la production de cortisol participe à la prise de poids. L’organisme étant en état d’alarme, de combat, va stocker de l’énergie pour répondre à toutes éventualités.

    Le stress déclenche une production d’acétylcholine, favorisant l’ulcère.

    Il produit l’hormone magnésuriante, accélérant l’apparition de la fatigue.

    Les risques cardiovasculaires

    Les plaques d’athéromes provoquent le rétrécissement des coronaires et des artères qui irriguent le cœur pouvant aboutir à un infarctus du myocarde. Très souvent le stress favorise le tabagisme, l’hyper lipémie, la sédentarité accentuant ces risques cardiovasculaires.

    Au Japon le  karôshi désigne la mort subite  au travail par arrêt cardiaque. Le karôshi est reconnu comme maladie professionnelle. C’est probablement l’accélération de la fréquence cardiaque par le biais de la sécrétion d’adrénaline en grosse quantité  qui est à l’origine de ce phénomène lors d’un surmenage.

    Les troubles de l’anxiété

    Différents troubles physiologiques peuvent accompagner une anxiété, crampes musculaires, palpitations cardiaques,  douleurs   thoraciques, maux de tête, gorge serrée, nœud dans l’estomac, perte ou augmentation de l’appétit, fatigue générale…

    Il arrive que l’anxiété se porte sur une situation bien déterminée, devenant un trouble phobique. Une personne phobique peut être très handicapée et subir des crises phobiques, par exemple pour celles souffrant d’agoraphobie.

    Dans certains cas l’anxiété peut être transformée en troubles obsessionnels compulsifs, (TOC). Ici pour calmer son  anxiété, l’individu va mettre en place dans son quotidien des routines qui deviennent de plus en plus répétitives jusqu’à troubler la vie sociale.

    La spasmophilie fait partie des troubles de l’anxiété. Le spasmophile a une grande sensibilité émotionnelle qui se transforme en une crise subite. Palpitations,  vertiges, fourmillements, paupières qui tressaillent... font parties des symptômes de la spasmophilie.

    La dépression

    Elle survient surtout après un stress prolongé et important. La personne dépressive ressent de la fatigue en permanence, de la tristesse, du désintérêt.

    La dépression peut déboucher sur le suicide.

    Les troubles psychosomatiques

    Ils regroupent l’ensemble des troubles, syndromes et  symptômes ayant une base de départ psychologique.

    Les plus fréquents sont les troubles gastro intestinaux avec les ballonnements, ulcères, constipations, colopathie fonctionnelle…

    Les troubles cutanés tels qu'eczéma, psoriasis, herpès, couperose… résultent d’un stress.

    D’autres troubles comme  certaines migraines,  prise ou perte de poids,  perte de libido peuvent être impactés par le stress.

    Les troubles  immunitaires

    Le stress chronique, épuise l’organisme qui devient fragilisé et risque d’être débordé pour contrer toute attaque.

    Si le trouble psychique n’est pas la principale cause de toutes ces maladies, il intervient souvent en facteur de risque. Parfois il est le principal déclencheur, (douleurs…).

    Il convient de gérer le stress en éliminant toutes les émotions perturbantes. Car si se libérer du stress est impossible, se libérer des causes du stress est tout à fait possible.

    Intérêts de la Psycho Energie

    La Psychologie Energétique (Energy Psychology) est  une branche de la psychologie moderne regroupant les  diverses Techniques psychothérapeutiques considérant l’Homme dans sa globalité.

    Des Méthodes de Psycho Energie comme l’EFT permettent de travailler sur les paramètres responsables des inconforts psychologiques en rééquilibrant  le système énergétique corporel.

    Méthode douce et autonome, l’EFT est facile à utiliser dans le quotidien pour contrôler les différents stresseurs et reprendre sa liberté face à des situations, des émotions, qui n’ont pas quant à elles à nous contrôler.

    Cette Méthode est en quelque sorte une acupuncture émotionnelle, où les aiguilles sont remplacées par les doigts.

    Des études en épigénétique, (étude de l’influence de l’environnement sur les cellules), démontrent que les émotions    influencent chaque cellule du corps. L’esprit dirige le fonctionnement génétique.

    Les Techniques de Psycho Energétiques, (EFT), s’appuient sur ces études, (Bruce Lipton),  et font évoluer la prise en charge du stress  et du mal - être en général, (physique et psychique),  avec douceur.

    Libération des émotions générant le stress

    La Méthode E.F.T fait partie des Méthodes de Libération Emotionnelle.

    Cette Méthode est née de la rencontre entre la Médecine Traditionnelle Chinoise et la Psychologie Occidentale.

    Méthode très douce, non traumatisante, elle ne fait pas revivre les traumatismes passés, son efficacité est durable.

    Avec la Méthode EFT (Emotional Freedom Techniques), on ne va pas s’intéresser au souvenir traumatisant qui peut être à l’origine de l’inconfort émotionnel, mais on va s’attaquer à la cause directe de l’émotion négative, c'est-à-dire :

     « LA PERTURBATION DU SYSTEME ENERGETIQUE CORPOREL ».

    Travailler à partir du souvenir lui - même va accentuer « LA PERTURBATION DU SYSTEME ENERGETIQUE CORPOREL ». Rééquilibrer le flux énergétique, permet de gagner un temps inestimable, et évite de revivre le  souvenir du traumatisme. Il peut toutefois y avoir parfois un léger inconfort à la remémorisation du problème.

    La Méthode EFT implique de tapoter certains points d'acupuncture situés sur nos méridiens en pensant à la situation qui préoccupe.

    Ainsi, les méridiens perturbés se rééquilibrent. La situation dérangeante reste ancrée dans la mémoire, mais elle est déchargée de toute intensité émotionnelle négative  perturbante.

    Toutes les émotions négatives peuvent être abordées par la Méthode E.F.T : Peurs, phobies, dépendances, chagrin, colère, anxiété, culpabilité, mauvaise estime de soi, traumatismes divers.

    Dans les cas d'inconforts physiques, en complément de soins médicaux, l'E.F.T est fort intéressante.

    Tous les événements passés sont enregistrés dans toutes nos cellules.

    Le subconscient fait remonter les émotions liées aux douleurs et inconforts physiques.

    La Méthode EFT rompt l’Inversion Psychologique.

    La Méthode EFT favorise la communication positive entre l’esprit et chaque cellule du corps.

    Des études en épigénétique, (étude de l’influence de l’environnement sur les cellules), démontrent que les émotions influencent chaque cellule du corps. L’esprit dirige le fonctionnement génétique.

    Les Techniques de Psycho Energétiques, (EFT), s’appuient sur ces études, (Bruce Lipton),  et font évoluer la prise en charge du stress  et du mal - être en général, (physique et psychique),  avec douceur.

    Il convient de gérer le stress en éliminant toutes les émotions perturbantes. Car si se libérer du stress est impossible, se libérer des causes du stress est tout à fait possible.

    Intérêts de la complémentation alimentaire

    Nous avons vu que le stress et énergétivore, un grand nombre de nutriments se retrouve démobilisé ce qui abouti à des déficits pouvant engendrer des déséquilibres à différents niveaux de l'organisme.

    La prise de compléments alimentaires pour un fonctionnement physiologique normal de l'organisme en période de stress est donc nécessaire dans le cadre d'une alimentation elle-même équilibrée.

    La prise de Rhodiola rosae sous la forme Fitolisat, (synergie de la poudre et d'extrait de la plante associée au magnésium), aide l'organisme à s'adapter aux différents stresseurs, psychologiques et physique.

    Pour contenir les troubles de l'anxiété, la complémentarité avec Arofitom Mélisse est tout à fait indiquée. Ce complément alimentaire allie la force de la poudre et extrait de la plante avec la puissance de son huile essentielle.

    Enfin Ceredox est une réponse à la spasmophilie par son apport en vitamines et minéraux.

    Se pencher sur le stress et ses conséquences à partir des perturbations émotionnelles dues à un déséquilibre du système énergétique et en s'occupant de l'équilibre physiologique de l'organisme paraît donc essentiel.

     

     STRESS ET MALADIES

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  • Voici un article relatant l'intérêt grandissant de l'EFT dans le monde de la santé.

     
     
    Je me permets de signaler que Technique est au pluriel. En effet l'EFT est "Emotional Freedom Techniques". C'est pourquoi je parle d'avantage de Méthode car dans le langage le pluriel ne s'entend pas. Il existe en effet différentes techniques dans l'utilisation de cette Méthode; techniques transmises par Gary Craig et celles que chaque praticien peut rajouter. D'autre part si nous faisons bien remonter l'émotion perturbante de notre patient, je corrige le fait que nous utilisons d'emblée des phrases positives pour se libérer des émotions négatives. Nous restons dans l'émotion en répétant des phrases négatives en liaison avec le problème à traiter. 
     
    Voici l'adresse de mon blog dédié à l'EFT pour tout public, particuliers et professionnels de santé : http://eft.eklablog.com/ 


    ARTICLE PARU DANS LE JDD (2 septembre 2014)

    L'EFT : la méthode bonheur pour tous?

    À VOTRE SANTÉ - Chaque semaine, Charlotte Langrand, journaliste pour les pages Tendances du Journal du Dimanche, décrypte les méthodes de bien-être et de nutrition pour prendre soin de soi simplement. Zoom sur l"Emotional Freedom Technique", une pratique qui s'attaque à nos angoisses et nos peurs.

    Le site le proclame : c’est la "découverte de santé la plus utile de ces 100 dernières années". L’affirmation est osée mais, sans aller jusqu’à établir un classement des meilleures avancées médicales, l’EFT (Emotional Freedom Technique) connaît en effet un succès grandissant auprès des praticiens de médecines complémentaires, en raison de sa grande accessibilité pour les patients. Concrètement, cette technique consiste à tapoter avec le bout de ses doigts les points d’entrée des méridiens énergétiques utilisés en acupuncture, en répétant une phrase positive en rapport avec le problème à traiter. Il s’agit ainsi de résoudre des soucis émotionnels précis ancrés dans l’inconscient depuis longtemps, en soulageant la mémoire émotionnelle, qui a été marquée par un traumatisme initial. C’est donc le domaine de la psychothérapie qui s’empare en premier lieu de cette thérapie énergétique basée sur le lien entre le corps et l’esprit.

    Lutter contre les émotions négatives ou les "tocs"
    Une séance agit en deux temps : identifier le problème à résoudre en discutant avec le patient, à l’aide de questions orientées qui indiqueront quelle est l’origine du problème, puis la répétition de phrases positives répétées en stimulant les points d’énergie. Ce processus va ainsi libérer les émotions négatives comme la phobie, la tristesse, la colère, l’anxiété mais aussi certains "tocs" comme se laver les mains souvent ou des problèmes de mauvaise image de soi, d’allergies, d’obésité… Cette méthode se situe à la croisée des chemins de nombreuses pratiques comme l’auto-hypnose, la méditation, la sophrologie ou l’accupression.

    L’EFT est née de la synthèse de médecines douces par plusieurs médecins : l’acupuncture appliquée à la kinésiologie par le chiropracteur George Goodheart dans les années 1960, à laquelle le psychiatre australien John Diamond ajoute des phrases de psychologie positive dans les années 1970. Roger Callahan perfectionne ensuite la méthode avec la technique du "tapotage" et de concentration sur un problème émotionnel mais elle reste encore compliquée à utiliser. C’est Gary Craig, ingénieur et coach en développement personnel, qui simplifie et popularise l’EFT dans les années 1990, en la rendant accessible à tous, en établissant un protocole de points plus facile à pratiquer.

    "L'EFT pour tous"
    En France, l’une des élèves de Gary Craig est devenue l’ambassadrice de l’EFT : outre le site internet officiel de la Fédération, Geneviève Gagos vient d’écrire un livre, "l’EFT pour tous", chez Marabout. "Cette technique est révolutionnaire, les résultats sont extraordinaires, témoigne le docteur Frédéric Rosenfled, médecin psychiatre à la clinique de Lyon Lumière, formé par Geneviève Gagos. Elle fonctionne très bien, j’ai même traité des patients psychotiques ou des personnes en grande souffrance avec cette méthode. C’est le 21e siècle." L’EFT marcherait également très bien sur les enfants, très réceptifs à son côté "ludique". Pour plus d’efficacité, il est même possible de répéter l’exercice seul, après les premières séances, comme on ferait de l’auto-hypnose ou de la méditation chez soi.

    Charlotte Langrand - Le Journal du Dimanche
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  • Loi de l’attraction : nos pensées
    créent-elles notre réalité ?

    « Si vous voulez être heureux, soyez-le », disait l’écrivain Léon Tolstoï. Notre état d’esprit crée-t-il notre réalité ? C’est ce qu’affirme la « loi de l’attraction », présentée comme une clé du bonheur. De quoi s’agit-il ? Attirer quoi, pourquoi, comment ?
    © lawattractionplus.com
    Lorsqu’une hypno-thérapeute, il y a quelques mois, évoque devant moi la « loi de l’attraction », je hausse un sourcil distrait. La loi de quoi ? Peu de temps après, une amie coach en entreprise reprend elle aussi l’expression. Je dresse l’oreille. L’attraction de quoi ? Trois semaines plus tard, dans le même week-end, une chamane et une assistante sociale citent encore, comme une évidence, la « loi de l’attraction » comme une clé du succès… Que se cache-t-il donc derrière cette drôle de dénomination ? Pourquoi est-elle, dans le milieu du développement personnel, de toutes les conversations ?

    Tout démarre en 2006 avec le livre et le film de Rhonda Byrne The Secret. Inspirés au départ des enseignements spirituels de Jerry et Esther Hicks, ils popularisent la notion sous des aspects plus prosaïques : obtenir la maison de ses rêves, le conjoint de ses rêves, le job de ses rêves… Traduit en une quarantaine de langues, le best-seller américain attire plus de vingt millions de lecteurs.


    Une histoire de vibrations


    Loi de l’attraction : le terme peut surprendre. Quel rapport avec celle, décrite par Newton, revue par Einstein, qui explique l’influence de la matière et de l’énergie sur le mouvement des corps et des astres ? « Cette règle de vie part du principe que tout dans l’univers est constitué d’énergie et émet une fréquence », indique Slavica Bogdanov, auteur d’un Petit cahier d’exercices pour pratiquer la loi de l’attraction. Y compris nos attitudes et nos pensées, dont la vibration aurait la capacité d’agir sur notre environnement et « d’attirer à nous en permanence, que nous en soyons conscients ou non, les gens et les expériences qui reflètent notre état d’esprit ».

    Appliqué au domaine de la psyché, le terme apparaît dès 1906 dans le livre La vibration de la pensée et la loi de l’attraction dans le monde de la pensée, de William Walker Atkinson, où il exprime le pouvoir de la volonté, de la concentration et de la suggestion. En médecine, cette influence de l’esprit dans le processus de maladie et de guérison n’est plus à prouver. Selon le physicien russe Vadim Zeland, auteur du best-sellerTranssurfing, la théorie quantique pourrait même l’expliquer : puisque selon cette nouvelle approche du vivant, tout est réseau de connexions et de potentialités, la réalité n’a pas d’existence matérielle figée, l’intention de l’observateur influe sur le résultat observé, nous détenons le pouvoir de modeler nos vies. Je pense donc je crée ?

    « Les sentiments négatifs comme la colère, la dépression ou la culpabilité induisent de mauvaises vibrations, qui attirent à nous des rencontres ou des expériences néfastes », dit en substance The Secret, alors que « l’enthousiasme, l’amour ou la gratitude » sont à même de booster notre avenir. « L’intégralité de ce qui nous arrive – le meilleur comme le pire – répond à nos pensées et nos comportements, confirme Slavica Bogdanov. Si on a des problèmes, c’est peut-être qu’on a décidé de les accepter. Assumer la responsabilité de notre environnement nous donne le pouvoir de le changer. »


    De la force de l’intention…


    Pas facile à entendre, quand on naît dans un milieu défavorisé, confronté à la faim, la misère ou la ségrégation. « C’est vrai, admet Slavica Bogdanov, mais je suis l’exemple que ça peut marcher. Je viens d’une famille modeste. Enfant, j’étais excessivement timide, les autres me maltraitaient. Jusqu’en 2006, mon existence entière était en faillite : deux mariages catastrophiques, une banqueroute professionnelle, des problèmes de surpoids et de santé… Je ne voyais pas d’issue. Jusqu’au jour où l’on m’a offert The Secret,ainsi que Secrets d'un esprit millionnaire, de T.Harv Eker. Je n’avais rien à perdre, j’ai essayé. Deux ans plus tard, ma vie avait radicalement changé. »

    Comment ? En éprouvant de la gratitude pour ce que l’on a, « bon moyen de briser une spirale négative ». Puis en arrêtant de ressasser ce qui nous heurte ou nous déplaît, pour se concentrer sur un but positif, précis, concret. « Que voulez-vous vraiment ? interroge The Secret. Ecrivez-le au présent. Visualisez le résultat, vibrez dès maintenant du plaisir qu’il vous procurera. » Cultivez cette perspective, répétez-la comme un mantra. Suivez l’élan qu’elle vous donne… Et ayez confiance. En vous, en la vie, en votre capacité à mériter le succès, en la magie de l’effort et du faisceau de connexions qu’il fera naître. Agissez, dans la fluidité, sans laisser le doute ou les aléas vous faire baisser les bras : petit à petit, les gens percevront votre changement d’énergie, des signes apparaîtront, qui finiront par créer les circonstances favorables à la réalisation de votre projet.

    Sous un label attractif, la « loi » reprend des principes présents dans bien des sagesses ancestrales. « Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé », disait Bouddha. « Le karma prône qu’on récolte ce que l’on sème, rappelle la prêtre zen Ruth Ozeki. Toutes nos pensées, attitudes et actions s’impriment et ont une conséquence, d’où la nécessité de les choisir très soigneusement. » Une vision du monde adoubée par certaines découvertes scientifiques : « Un jour, en entrant dans son bureau, la chercheuse spécialiste des émotions Sigal Barsade a senti que l’atmosphère avait changé, raconte la journaliste Lynne McTaggart, auteur du Lien quantique. C’était un endroit d’ordinaire très froid, où personne ne se parlait. Soudain, tout le monde discutait. Sigal Barsade s’est rendu compte qu’une collègue toujours de mauvaise humeur était en vacances. Quand cette dernière est revenue, l’ambiance est redevenue comme avant. Ses recherches ont confirmé que nos actions et nos comportements, tout comme ceux des autres, étaient contagieux. Des études à Harvard ont montré que si nous sommes heureux, nous aurons tendance à avoir des amis heureux. Pas seulement parce que nous choisissons des gens heureux, mais en raison de la propagation naturelle du bonheur dans tout le réseau social. Nous partageons de l’information à un niveau bien plus fondamental que le simple mental, et nous nous synchronisons en permanence avec nos émotions. »

    En yoga, existe aussi la notion de sankalpa, une graine que l’on plante dans un coin de sa tête en état de relaxation profonde et qui, si on la cultive, finit par germer… « Cela va bien au-delà de la pensée positive, précise Christian Möllenhoff, professeur de yoga et de méditation à Paris. Nos conditionnements personnels, éducatifs ou culturels, façonnent un large éventail d’idées sur ce que nous croyons pouvoir ou devoir faire dans nos vies. Ces préjugés sont si enracinés que nous les laissons souvent nous contrôler, sans les questionner. » Qui sommes-nous, vraiment ? Que voulons-nous, profondément ? Pourquoi le voulons-nous, exactement ?


    … A celle de l’attention


    Pendant des années, Esther Kasri-Wick, auteur du Guide pratique de votre réussite, a cherché à vivre ses rêves. « Je me disais toujours : sois positive, travaille sur ta pensée. Je me suis concentrée, j’ai eu des hauts et des bas. Mais les hauts étaient de courte durée. Les bas s’éternisaient »… Parce qu’elle faisait« un travail de répétitions d’affirmations plutôt que de certitudes et de ressenti ».

    Au-delà du pouvoir de l’intention, la loi de l’attraction conduit donc à l’attention : prendre conscience des mécanismes qui nous régissent, des émotions et des idées qui nous tenaillent. Puis lâcher prise du mental pour se mettre à l’écoute de nos sensations profondes, apprendre à percevoir ce qu’elles ont à nous dire et aller vers ce qui nous fait vibrer, viscéralement, au-delà des désirs et postures de surface, « sans se poser trop de questions », dit Slavica Bogdanov.

    Alors seulement, dans cette recherche de justesse de l’être plutôt que de l’avoir, la loi de l’attraction prendra toute sa force. « Pour attirer à soi le meilleur, il faut être capable de se transformer intérieurement », confirme Slavica Bogdanov. Atteindre sa cohérence, sa résonance, nourrir ses sens de quiétude et d’épanouissement… Et se rendre compte peut-être que l’important n’est pas le résultat, mais le chemin. « Une fois un but atteint, beaucoup courent vers un autre ! Certains souffrent tellement pour y arriver, ou ont tellement peur de perdre leur acquis, qu’ils n’en éprouvent aucune satisfaction. A quoi ça sert, si le présent n’est pas bien vécu ? Pour que la loi de l’attraction fonctionne à plein, il faut être en plénitude au quotidien. Plus on chemine, plus on apprend, plus on est reconnaissant, plus on rayonne, plus on attire à soi de bonnes choses. »

    Jusqu’à atteindre un « niveau vibratoire » où l’univers semble étonnamment conspirer à exaucer nos souhaits. « Ma vie est devenue une suite de hasards bienheureux, témoigne Slavica Bogdanov. Dernier exemple : il y a deux ans, j’ai pris la décision de quitter le Canada – je n’en pouvais plus du froid. Je me suis représentée l’endroit où je voulais vivre… Cet hiver, sur une plage de Floride, j’ai senti que c’était là : j’étais chez moi. Mon cerveau a regimbé face à tous les changements que cela impliquait, mais en trois semaines, j’avais vendu mes meubles et mon appartement, trouvé un logement sur place, changé l’immatriculation de ma voiture, effectué les transferts bancaires. Les choses se faisaient d’elles-mêmes, c’était fascinant. »

    Bien entendu, suivre la loi de l’attraction ne lève pas tous les obstacles – ils font partie de la vie –, mais elle apprend à « les considérer comme des occasions d’ajustement, des signes d’un nécessaire changement d’orientation », indique Esther Kasri-Wick. A accepter, rebondir, s’ouvrir à de nouvelles possibilités, retrouver plus facilement sa « vibration haute »

    Alors, que voulez-vous attirer ? Pour vous, pour les autres. Car rappelez-vous, « c’est un processus coopératif : notre environnement nous crée autant que nous le créons », souligne Lynne McTaggart. « Et arrive un moment dans la vie où tout ce que nous pouvons souhaiter de plus, c’est d’aider autrui à rayonner lui aussi de plus de joie et de sérénité », conclut Slavica Bogdanov.
     
    Source : INRES
     
    Petit cahier d'exercices pour pratiquer la loi de l'attraction, Slavica Bogdanov
    Editions Jouvence (Juin 2013 ; 63 pages)



    Guide pratique de votre réussite, Esther Kasri-Wick
    Editions Baudelaire (Avril 2013 ; 132 pages)



     
     

     

    EFT et Loi d'Attraction!

     

    Vous avez décidé de mettre en place des solutions pour réussir vos projets ; changer ce qui ne fonctionne pas dans votre vie !

    Peut-être appliquez-vous les théories de la Loi d’Attraction, cette fameuse loi Universelle !, Vous connaissez vos désirs, peut-être même les avez-vous écrits sur une liste!

    Vous avez clairement énoncé vos souhaits et mis les dates butoirs pour leurs réalisations !

    Et malgré tout vous attendez toujours, et peut-être ne croyez-vous plus en rien !

    Que se passe-t-il en réalité ? Que manque-t-il pour voir se réaliser vos souhaits, vos projets ? Vous n’avez pas permis à cette Loi d’Attraction de s’activer en freinant inconsciemment ce qui est prêt à se manifester positivement dans votre vie.

    Alors quelles sont les recettes ? Tout d’abord s’apaiser, vivre dans la joie au quotidien, cultiver les pensées positives, et prendre conscience de ce que l’on possède, en être reconnaissant ! S’écarter de toute pensée perturbante, des peurs et notamment celles concernant le manque.

    Mais comment changer son mode de fonctionnement et de pensées avec tous ces tracas et les souffrances du quotidien? En pratiquant l’EFT ! Cette Méthode de plus en plus reconnue aujourd’hui, et toujours étudiée, permet de réaliser ses demandes en éliminant nos freins pour accéder à la réussite financière, relationnelle, sportive…

    L’EFT permet de changer les vibrations négatives, celles qui nous maintiennent dans la difficulté en ondes positives pour accéder à la réussite.

    Des ateliers et formations en EFT EquilibreSante ® sont régulièrement organisés :

     Nous apprenons à traiter les blocages, ces pensées négatives en liaisons avec la réussite. Nous verrons comment résoudre le conflit entre vouloir la réussite et les craintes liées à cette réussite!

     La Méthode EFT permet de modifier notre comportement en changeant les paramètres de notre fonctionnement incrustés depuis toujours.

     
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  • Les émotions, une arme anticancer?

    Par , publié le 24/09/2014 à 15:14

    C'est une piste dérangeante, y compris pour les médecins : les individus qui taisent leur ressenti et masquent leurs inquiétudes seraient plus exposés au risque de développer une tumeur. Il faudrait alors agir sur leur mode de relation aux autres. 

     Les émotions, une arme anticancer?

     Bernard Asselain, bio statisticien à l'Institut Curie, estime que "la personnalité joue sans doute un rôle important dans la manifestation du cancer."

     © JPGuilloteau/L'Express

    Tous les cancérologues ou presque le disent, sur le même ton réprobateur : beaucoup de leurs patients cherchent une explication à leur pathologie dans leur vie personnelle. Ils incriminent leurs problèmes conjugaux, leur licenciement, la rupture avec leur famille, la perte d'un être cher : "Si je suis tombé malade, docteur, c'est parce que j'ai perdu le moral, après ce que j'ai enduré pendant toutes ces années..."  

    A ces patients téméraires, il faudrait ajouter les prudents qui gardent leur conviction pour eux, par crainte de mettre leur médecin en colère. Car, dans le milieu médical, l'idée qu'un choc émotionnel ou un chagrin trop longtemps contenu puisse provoquer le cancer est taxée, au mieux, de pure croyance, au pire, de bêtise tout juste bonne à accabler des patients déjà tombés bien bas. 

    Deux champs de recherche complémentaires très actifs

    Les scientifiques, eux, jugent au contraire le sujet digne d'intérêt. Depuis plusieurs décennies, ils étudient des échantillons de population à travers le monde afin de vérifier si des facteurs psychologiques pourraient expliquer la survenue de cancers. Cette méthode ne leur a pas permis jusqu'ici de conclure, mais une nouvelle approche, née des progrès fulgurants de la biologie, apportera peut-être la réponse.  

    Yvane Wiart, chercheuse en psychologie à l'université Paris Descartes. Son enquête est centrée sur le profil des répressifs affectifs, dits aussi "alexithymiques".

    Yvane Wiart, chercheuse en psychologie à l'université Paris Descartes. Son enquête est centrée sur le profil des répressifs affectifs, dits aussi "alexithymiques".

    © JPGuilloteau/L'Express

    Deux champs de recherche complémentaires sont actuellement très actifs. Le premier porte sur les étapes conduisant à la formation d'une tumeur, en résumé, une cascade de mutations survenant accidentellement lors du renouvellement des cellules. Le second, sur les perturbations de l'organisme chez les individus en situation de stress prolongé. Le croisement de ces connaissances récentes ouvre une piste à la fois prometteuse et dérangeante : et si certaines personnes, davantage sensibles au stress psychologique en raison de leur caractère taiseux, étaient "prédisposées" à développer un cancer? 

    A l'université Paris-Descartes, la chercheuse en psychologie Yvane Wiart s'est lancée dans cette voie, explorant la littérature scientifique la plus ardue sur le sujet. Très vite, son enquête s'est centrée sur un profil spécifique d'individus, ceux qui "prennent sur eux" en toutes circonstances et se montrent d'humeur toujours égale. Passés maîtres dans l'art de réprimer leurs émotions, ces grands calmes ne laissent jamais rien paraître de leur colère ou de leur détresse. On les croit sereins mais, en réalité, leur mode relationnel tout en retenue soumet le corps à un niveau de stress élevé, faisant le lit du cancer. C'est en tout cas la thèse brillamment défendue par Yvane Wiart dans le livre Stress et cancer, quand notre attachement nous joue des tours, qu'elle vient de publier aux éditions De Boeck. A ses risques et périls... 

    Car le fait d'évoquer un lien possible entre le psychisme et la maladie peut, en soi, provoquer des réactions épidermiques chez les cancérologues. Pour s'en convaincre, il suffit d'un échange avec le spécialiste américain Siddhartha Mukherjee. Interrogé précédemment sur la question, l'affable lauréat du prix Pulitzer pour son histoire du cancer (1) a perdu son sangfroid. "Ceux qui propagent ce genre d'idées sont des charlatans ! a-t-il lancé. Qu'ils arrêtent de culpabiliser les patients ! Les gens finissent par croire que c'est leur faute s'ils sont malades, ils se disent qu'ils en sont là parce qu'ils se sont rendus malheureux, alors qu'ils ont besoin d'énergie pour se battre." 

    Un questionnement très fréquent chez les patients

    Avec les médecins français aussi, on avance en terrain miné. "Depuis que le monde existe, l'être humain tombé malade veut savoir pourquoi cela lui arrive, philosophe le Pr Simon Schraub, administrateur national à la Ligue contre le cancer. Il serait tentant de chercher la réponse dans le psychisme mais, à ce jour, rien ne permet d'affirmer que ce facteur intervient dans la survenue d'un cancer!" 

    L'Institut national du cancer (Inca), l'autorité chargée de coordonner la lutte contre la maladie, affiche, lui aussi, une position prudente. "Les études portant sur le rôle de la personnalité des patients dans le cancer sont contradictoires et ne permettent pas de confirmer un lien de cause à effet", affirme Hermann Nabi, l'épidémiologiste responsable du département recherche où l'on évalue le rôle des facteurs psychiques. Un brin kamikaze, le Pr Jacques Rouëssé a accepté de préfacer l'ouvrage d'Yvane Wiart.  

    Hermann Nabi, épidémiologiste à l'Institut national du cancer. "Les études ne permettent pas de confirmerun lien entre maladie et personnalité", selon l'Institut national du cancer.

    Hermann Nabi, épidémiologiste à l'Institut national du cancer. "Les études ne permettent pas de confirmerun lien entre maladie et personnalité", selon l'Institut national du cancer.

    © JPGuilloteau/L'Express

    "On ne peut pas balayer d'un revers de main un questionnement qui revient si souvent chez les malades, estime cet ancien directeur du centre de lutte contre le cancer René Huguenin à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), membre de l'académie de Médecine. C'est pourquoi j'ai apporté ma caution à cette démonstration audacieuse mais rigoureuse, qui s'appuie sur plus de 300études scientifiques internationales." Pour Yvane Wiart, l'erreur consiste à mettre tous les travaux dans le même sac. "Ce lien n'apparaît pas quand les catégories psychologiques utilisées pour classer les sujets sont mal définies, tranche-t-elle. Mais il est net dans les études qui des répressifs affectifs, que les neurobiologistes ont rebaptisés "alexithymiques"". Du grec lexis (mots), thymos (humeur), précédés du "a" privatif, l'alexithymie désigne la difficulté à exprimer ses émotions. 

    Les effets du stress chronique

    Dans un portrait à grands traits, la chercheuse décrit l'individu alexithymique comme "faisant preuve d'une certaine incapacité à identifier ses émotions, à les mettre en mots [...]. Il privilégie les aspects pragmatiques des situations, qu'il est capable de décrire très en détail. Sa vie imaginaire se révèle assez limitée, ainsi que ses capacités d'introspection. Il recourt de préférence à l'action, surtout lorsqu'il est confronté à des expériences chargées d'affect. Il a tout autant de difficultés à reconnaître et à faire face aux émotions d'autrui, et il fait alors preuve d'un certain manque d'empathie."  

    Autrement dit, l'alexithymique se montre efficace pour résoudre les problèmes matériels, mais se retrouve désarçonné, voire paralysé, quand l'affectif s'en mêle. Il cherche donc à éviter les conflits, se montrant le plus souvent coopératif et extrêmement patient visà- vis des autres. On retrouve le même profil sous d'autres noms, "type 1" ou "type C", dans les recherches menées à partir des années 1980 sur les personnalités prédisposées au cancer. 

    S'il ne fallait retenir qu'une seule des nombreuses études citées dans l'ouvrage, ce serait, pour Yvane Wiart, celle de l'éminent psychologue britannique d'origine allemande Hans Eysenck. Ce spécialiste a suivi pendant dix ans, en Yougoslavie, 1 353 personnes âgées d'une soixantaine d'années. Chez les sujets de "type 1", 46,2% sont décédés d'un cancer, contre seulement 0,6% chez les personnes à l'écoute de leurs émotions, regroupées dans le "type 4", considéré comme protecteur vis-à-vis de la maladie. On retrouve le même écart chez d'autres sujets vivant, eux, en Allemagne. "Quand ces chiffres ont été publiés, en 1988, ils ont suscité le doute, sous prétexte qu'ils étaient trop beaux pour être vrais ! s'exclame Yvane Wiart. Mais le principal détracteur d'Eysenck les a vérifiés et, finalement, il a présenté des excuses publiques." 

    Comment expliquer, cependant, qu'on puisse se "fabriquer" une tumeur à force d'avaler des couleuvres et d'ignorer son propre ressenti? La clef pourrait se trouver dans les mécanismes de réaction au stress, en grande partie élucidés aujourd'hui. Selon la thèse d'Yvane Wiart, les répressifs affectifs, qui ne savent ni formuler leurs besoins affectifs, ni deviner ceux des autres, sont soumis à de fortes tensions relationnelles. "Cette forme méconnue de stress chronique a les mêmes effets que d'autres, plus évidentes, comme la pression au travail ou encore l'arrivée d'un enfant lourdement handicapé dans une famille", affirme la psychologue. 

    Lesquels? D'abord, un affaiblissement des défenses immunitaires. Le stress fait notamment baisser le nombre et l'efficacité des globules blancs chargés de l'élimination des cellules anormales, dont les cellules cancéreuses. Ensuite, et c'est moins connu, il agit au coeur même des chromosomes, ces bâtonnets formés de brins d'ADN porteurs de l'information génétique de chaque individu. 

    "La personnalité, un rôle important dans la manifestation du cancer

    La biologiste américaine Elizabeth Blackburn, couronnée en 2009 par le prix Nobel, a montré qu'il accélère l'usure naturelle des télomères, des embouts de protection situés à l'extrémité des chromosomes. A force, les brins "s'effilochent", comme ceux des lacets de chaussure. Quand la cellule se duplique, il se produit des erreurs de copie de l'ADN, c'est-à-dire des mutations potentiellement malignes. La cellule mutée n'a plus qu'à profiter de la perturbation du système immunitaire pour passer au travers des mailles du filet. 

    Siddhartha Mukherjee, cancérologue au Presbyterian Hospital de New York. "Qu'ils arrêtent de culpabiliser les patients! Les gens finissent par croire que c'est leur faute s'ils sont malades."

    Siddhartha Mukherjee, cancérologue au Presbyterian Hospital de New York. "Qu'ils arrêtent de culpabiliser les patients! Les gens finissent par croire que c'est leur faute s'ils sont malades."

    © JPGuilloteau/L'Express

    Afin de nourrir le débat, L'Express a demandé à deux scientifiques reconnus de se plonger dans l'ouvrage d'Yvane Wiart. Pour Hermann Nabi, l'épidémiologiste de l'Inca, le livre "repose sur l'idée, fausse, qu'on sait tout sur le déclenchement du cancer". Et d'ajouter : "Il reste beaucoup trop de zones d'ombre pour que la démonstration soit convaincante." A l'institut Curie, à Paris, Bernard Asselain, chef du service de biostatistiques, estime au contraire que "le raisonnement se tient" et que, oui, "la personnalité joue sans doute un rôle important dans la manifestation du cancer". Mais il lui paraît difficile, au vu des connaissances actuelles, de dire dans quelles proportions. 

    L'urgence, pour Yvane Wiart, n'est pas là. Elle réside dans la prise de conscience, chez les répressifs affectifs, de l'impact négatif sur la santé de leur manière d'être. Rejoignant en cela l'opinion de chercheurs spécialisés dans la chimie des émotions, elle souligne que la qualité des liens tissés avec l'entourage ménage l'organisme sur le long terme. Et que si, chez l'humain, être éminemment social, le mode relationnel s'installe dès l'enfance, il n'est jamais trop tard pour en changer.  

    "Le principal obstacle tient à notre refus instinctif, une fois adulte, d'examiner en détail les conditions dans lesquelles nous avons grandi, les manques affectifs dont nous avons pâti, parce que nous continuons à vouloir protéger l'image de nos parents", souligne la psychologue. Il s'agit, en somme, de porter un regard lucide sur la manière dont on a été élevé. Pas si facile, mais manifestement salutaire. 

    (1) L'Empereur de toutes les maladies. Une biographie du cancer (Flammarion). 


    Source : l'Express

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    La Mélisse et ses Bienfaits

    Présentation de Mélisse officinale

    La Mélisse officinale (Melissa officinalis) est une plante herbacée vivace de la famille des Lamiacées  initialement  originaire de la région méditerranéenne orientale et d’Asie occidentale.

    Au IVème siècle avant J-C, Théophraste, (botaniste et naturaliste grec), et Hippocrate, (médecin grec), utilisaient traditionnellement ses feuilles pour améliorer les états de nervosité, les fonctions digestives et pour calmer les maux de ventre.

    On retrouve la présence de la Mélisse officinale dans les jardins médiévaux, attestant de l’intérêt que lui portaient les religieux pour soigner.

    La Mélisse officinale est naturellement riche en acides phénols, (acide rosmarinique : antioxydant). Son huile essentielle contient notamment du citral, (antibactérien), et du citronellal, (responsable de l’arôme spécifique du citron). Cette dernière caractéristique lui confère également le nom de citronnelle, à ne pas confondre avec  la citronnelle, (Cymbopogon citratus).

    Utilisations de Mélisse officinale

    La Mélisse officinale est de nos jours utilisée pour ses  propriétés calmantes et digestives. Elle joue un rôle anti spasmodique gastrique et intestinal.

    Cette plante est recommandée dans les insomnies.

    La Mélisse officinale permet de réguler la transpiration.  Son infusion est recommandée  lors de fortes chaleurs, (personnes âgées…).

    En cas d’herpès, de zona, des cataplasmes réguliers d’infusion de Mélisse officinale sont  à appliquer, afin de bénéficier de  son action antivirale, (polyphénols).

     

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